Croisière  été  2017
    Ordre chronologique des escales : voir le trajet.
40 _ Rose Blanche 44 _ Raméa
41 _ Grand Bruit 45 _ Fortune
42 _ Burgeo 46 _ Miquelon
43 _ Doctor Harbour 47 _ Saint-Pierre
 
(Cliquer sur les images pour les agrandir.)

    Le 21 Septembre :
    Au retour, après une belle marche à la découverte de Rose Blanche, nous transvasons 50 litres de fuel et partons vers 11h30.

Voir le diaporama.
 
 
    Malgré un vent irrégulier, nous naviguons à la voile jusqu'à Grand Bruit où nous arrivons vers 16h30.
 
    Après l'amarrage, nous partons à la découverte du village.
 
 
   " Grand Bruit est née dans les années 1800, sans doute grâce à son port bien protégé, son abondance en forêts et en eau fraîche et la proximité de riches lieux de pêche.
    Suite au déclin de la pêche, l’activité du village est tombée inexorablement. En 2009, les habitants ont voté pour une relocalisation. Le village a été fermé définitivement en 2010.
    Certains résidents utilisent encore, de façon saisonnière, leurs maisons comme chalets d'été."

(voir l'article complet de Gérard Morel)
 
 
    Nous rencontrons Linda Farrell et son mari, les seuls habitants pour cet été. Elle nous offre des partridgeberries et des tomates de son jardin.
 
     
    Le lendemain matin, nous visitons l'autre partie du village. Beaucoup de maisons commencent à se détériorer faute d'entretien. Bientôt ce ne seront plus que des ruines.
    Nous déposons un bocal de pâté à la maison de Linda qui n'est pas chez elle. Dommage.
     
 
    Le bateau rangé, nous partons vers 11h30. Très bonne visibilité malheureusement pas de vent c'est donc la risée volvo. Ce sont les grandes marées d'équinoxe et nous apercevons de nombreux cailloux qui restent souvent sous l'eau. En fin d'après-midi, nous nous amarrons comme d'habitude au nord du quai du ferry.
 
    Le 23 Septembre :
    Après le petit déjeuner, grâce à une connexion wifi, nous parlons longuement avec Aurélie.
 
    Départ après la sieste pour Doctor Harbour, mouillage où deux aigles nous souhaitent la bienvenue.
    Nous prenons une douche dans le cockpit dans un calme absolu. Super!!!
 
    Depuis notre mouillage, nous apercevons le "Bassin Intérieur" où un plaisancier y a trouvé refuge lors du passage du cyclone Bertha en 1990.
 
    Le lendemain, nous descendons à terre à marée basse et
 
commençons à relever les fonds du "bassin intérieur" avec notre sonar à main.
 

 

    Le 25 Septembre :
    Le sur-lendemain, dès le levé du jour, nous continuons nos sondages. Par sécurité, il faudrait poursuivre les relevés de sonde.

    Puis vers 10h, nous levons l'ancre pour Ramea Islands. La vue de ce passage nous donne de nouvelles envies de découvertes.
 
Pas de place au quai du centre du village, nous nous amarrons à celui de l'usine à cause des vent d'Est annoncés.
 
 
    Du 25 Septembre au 1er Octobre :
    Nous restons en attente d'une météo favorable.
    Nous en profitons pour effectuer de nombreuses balades au tour de l'île grâce aux trottoirs en bois.
 
 
 
 
 
 
 
Au NW de l'île, nous constatons les dégâts occasionnés par les tempêtes de cet hiver : trottoirs et galets déplacés.
 
 
    L'eau de consommation est filtrée par la station qui pompe l'eau de pluie dans l'étang qui sert de bassin de rétention.
 
 
    Le 1er Octobre :
    Départ dès 7h du matin, les deux premières heures se font au moteur. Puis, dès que nous sortons de sous le vent de Raméa Islands, en moins d'une minute, les vents de SW se lève à 25 / 30 nœuds. Vers le cap du Nid à l'Aigle (Miquelon), quelques vagues s'abattent sur le pont. Si le bateau se comporte bien, le capitaine, lui, est malade.
    Arrivée à fortune vers 21h.
    En attendant les Taravana, nous nettoyons et révisons le bateau, rinçons les vêtements de navigation, etc...
    Arrivée des Taravana le 6 Octobre.     Nous leur faisons découvrir la péninsule de Burin et leur montrons les magasins en prévision de leur hivernage.
    Nous allons aussi ramasser des canneberges qui sont mis en bocaux;
 
    Le 19 Octobre :
    Enfin un créneau favorable pour aller à Miquelon saluer quelques amis.
 
    En arrivant, nous découvrons de magnifiques voiliers qui vont passer l'hiver sur le terre-plein.
 
Jooley
 
 
 
Arakan
 
 
     Deux jours plus tard, nous voilà de retour à Saint-Pierre.